archives de 2012-2013

La compote en MS-GS

classe de MS/GS

La compote en MS-GS Pour cuisiner, il faut se laver les mains. 

Nous coupons les pommes et mangeons les pommes crues.  SANDRINE met de l’eau et du sucre.  Nous avons fait cuire.   SANDRINE écrase les morceaux avec un moulin à légumes. Nous mangeons la compote avec des morceaux et la compote sans morceaux. 

Les chaussons aux pommes

A l’école, on a fait des chaussons aux pommes.

On avait tous apporté une pomme.

Voilà nos belles pommes !

D’abord on a utilisé l’épluche-pomme pour éplucher la pomme, la couper en rondelles et enlever le trognon.

Ensuite on a mis les pommes dans une casserole pour les cuire.

Pendant que les pommes cuisaient, on a découpé des ronds dans la pâte.

Une fois les pommes cuites, on a étalé la compote sur la pâte.

Puis on mis nos chaussons aux pommes dans le four et on s’est régalé !

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Les enfants de GS,CP et CE1 vont à la piscine, le jeudi après-midi.

À la piscine

Les enfants vont à la piscine, le jeudi après-midi. Nous sommes partagés en plusieurs groupes. Chaque groupe a une couleur de bonnet. Quelle belle descente ! Pas facile de marcher sur l’eau.

Mangez des légumes !

Nous avons rencontré la diététicienne du restaurant scolaire qui nous a parlé des légumes !

Audrey nous explique que nous devons manger cinq portions de fruits et légumes par jour.

Elle nous a expliqué ce que c’est une portion de fruits ou de légumes.

Nous avions une photo par groupe et nous devions dire si cela représentait une portion de fruits ou de légumes.

On devait choisir un aliment pour faire une portion de fruits ou légumes. Attention aux pièges !

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Spectacle de Noël organisé par la municipalité

Spectacle de Noël organisé par la municipalité de MS au CP.

« Quand je me deux » par la compagnie ak’entrepot.

A l’angle d’un carré de ciel, les prémices d’une rencontre. Deux interprètes, deux figures, deux silhouettes.

La première collectionne. Elle amasse, ramasse, dispose, déplace, replace. La seconde, aérienne, apparaît, observe, s’installe, dévoile, s’amuse. Le jeu de la rencontre commence.

Nous sommes allés au Triskell.

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La galette des rois des petits

Nous avons fait une galette des rois.

Vendredi 18 janvier, nous avons fait une galette des rois.

On a mis le sucre, la poudre d’amandes, l’oeuf et le beurre fondu dans un saladier. On a bien mélangé puis on a déroulé une pâte feuilletée, on a étalé notre crème sur la pâte et on a déposé 2 fèves. Ensuite, on a posé la deuxième pâte feuilletée dessus et on l’a doré avec un jaune d’oeuf.

On a cuit notre galette dans le four puis on s’est régalé.

C’est MANON et FABIENNE qui ont eu la fève.

Notre journée en préhistoire

Nous avons passé une journée à Carnac sur les pas des hommes préhistoriques.

Le matin, nous avons visité les alignements de menhirs avec une animatrice du patrimoine. Puis elle nous a montré des reproductions d’armes, d’outils, d’objets préhistoriques et elle a fait du feu.

L’après-midi, par groupe de six, nous avons déplacé un menhir d’une tonne ! Ensuite, nous avons lancé des sagaies avec un propulseur. Nous avons fabriqué un pot en terre comme les hommes préhistoriques. Enfin, nous avons essayé de faire du feu.

Ce fut une bonne journée !

Cliquez sur une photo pour lancer ensuite le diaporama.

Nos jardins à la française

En participant au Prix des Incorruptibles, nous avons lu le livre Vert Secret, dans lequel deux enfants, Flora et Paolo, découvrent le secret d’un jardin à la française. Nous avons imaginé une correspondance entre les deux enfants.

(d’après le texte de Rose)

Cliquez sur une photo puis lancez le diaporama.

Les petits oiseaux

De la nourriture pour les oiseaux !

Parfois, lorsque des enfants ne finissent pas leur part de gâteau d’anniversaire, nous les donnons aux oiseaux sur le perchoir devant notre classe. Nous avons remarqué qu’ils venaient et mangeaient tout : nous avons alors décidé de leur fabriquer de la nourriture. Voilà, nous sommes prêts à cuisiner ! Voilà tout ce qu’il faut. Nous avons fait chauffer la graisse puis nous avons ajouté les graines. Ensuite, on a mélangé puis on a rempli des petites bricks de jus de fruit avec ce mélange et on les a laissées refroidir. C’est fondu mais attention, c’est très chaud !! Pendant que la graisse chauffait, nous avons observé les graines : il y en a de plusieurs sortes. Puis tous les enfants ont versé leurs graines dans la casserole. On a rempli des bricks de jus de fruits et on a attendu que ça refroidisse. On a déchiré les bricks et à l’intérieur, c’était tout dur. On a mis les blocs dans des filets puis on y a attaché une ficelle et on a mis la nourriture dehors devant la classe pour pouvoir observer les oiseaux quand ils viendront manger !

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Les crêpes

Encore de la cuisine !

Lundi 4 février, on a fait des crêpes à l’école. Il faut de la farine, des œufs et du lait.

D’abord, on verse la farine dans le saladier puis on casse les œufs et on mélange.

On ajoute le lait puis on mélange, on mélange encore et encore.

Fabienne nous avait apporté son appareil pour faire des petites crêpes !

C’était très bon !

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Une conteuse à l’école

Des histoires, des contes !

Vendredi 8 février dans le cadre du festival du conte de Baden, une conteuse est venue à l’école pour les petites et moyennes sections. Elle nous a raconté trois histoires en jouant de la musique.

Les petits oiseaux (suite)

Les mésanges se régalent.

Depuis que nous avons installé la nourriture pour les oiseaux, nous voyons des mésanges tous les jours : elles se régalent !

La médiathèque

Une nouvelle visite à la médiathèque

Mardi 19 février, nous sommes allés à la médiathèque. Émilie et Catherine nous ont raconté trois histoires sur le thème des couleurs. Un des albums était « bizarre » pour nous, il était tactile et le texte était écrit en braille.

Ensuite, nous avons choisi des livres pour les emporter dans la classe.

Voilà l’album « petit bleu et petit jaune » en version adapté aux non-voyants.

Émilie nous montre de plus près ce livre un peu différent.

On touche les petits points qui représentent les lettres en braille.

Ici, on voit les illustrations en relief et ci-dessous le texte en braille.

Dans l’album « chacun sa couleur », les images changent de couleur !

Voici les trois albums qu’Émilie et Catherine nous ont lus.

Les sablés

Des petits gâteaux de toutes les formes !

Pour finir notre travail sur les formes, nous avons confectionné des sablés de forme ronde, carrée et triangle. D’abord, il faut mettre la farine dans le robot.

Puis, il faut ajouter le sucre et les œufs et mixer.

Ensuite, on ajoute le beurre en petits morceaux.

Il faut étaler la pâte et découper des formes avec un emporte-pièce.

On fait cuire puis on se régale !

Visite du domaine de Kerguehennec

Jeudi 20 juin, nous avons pris le bus pour aller à Bignan, au Domaine de Kerguehennec. Nous nous sommes promenés dans le parc et nous avons vu des sculptures. Il y en avait en bois, en métal, en forme de girafe ou de table… Nous avons mangé un pique-nique dehors avant de rentrer à l’école pour y faire la sieste.

Concours « Plumes en herbe »

Les élèves ont écrit la suite d’une histoire avec leur maîtresse. Vous pouvez la découvrir sur le site des éditions Nathan, en choisissant la région Bretagne (bien sûr !), puis la page 8 !

Bonne lecture !

plumes en herbe

Expression corporelle avec les enfants de moyenne section.

Expression corporelle avec les enfants de moyenne section.

Le vendredi matin, les enfants de moyenne section ont fait de l’expression corporelle avec Alexandra pendant 7 séances. Alexandra explique ce que nous allons faire.

Nous nous déplaçons en écoutant une musique lente ou rapide.

Nous marchons, rampons et sautons en nous répartissant dans l’espace.

Et pour finir, nous faisons un retour au calme.

Merci à Alexandra de nous avoir appris à bouger notre corps en rythme.

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Les fruits

Après la confection de nos chaussons aux pommes, nous avons voulu goûter d’autres fruits.

Jacqueline avait apporté des pommes, des poires, des bananes, des prunes, des oranges, du raisin, des citrons, des kiwis, des châtaignes, des clémentines, des noix, des framboises, un melon et un ananas.

D’abord on a regardé tous ces fruits et on a dit comment ils étaient (leur couleur, leur taille, leur forme, etc), on les a touchés pour voir s’ils étaient durs, mous, lisses, piquants. Puis on les a sentis et enfin on a goûté plusieurs de ces fruits.

Ensuite, on a fait des jeux avec les fruits. Avec un masque sur les yeux, il fallait reconnaître au goût si Fabienne nous mettait dans la bouche un morceau de banane, de pomme, de raisin ou de clémentine.

Puis, pour le jeu suivant, Jacqueline a mis quatre fruits différents (une banane, une noix, une pomme et un kiwi) dans quatre boîtes : on devait mettre sa main dans la boîte à travers le couvercle découpé, toucher le fruit et le reconnaître.

Après, on a remis les masques et on a placé de la banane dans un flacon et du citron dans un autre, il fallait sentir et reconnaître l’odeur du fruit.

Enfin, on a mis une noix dans une boîte, un grain de raisin dans une autre et une orange dans la dernière, on devait secouer la boîte et reconnaître de quel fruit il s’agissait en écoutant bien le bruit.

Après tous ces jeux qui nous ont permis d’utiliser les 5 sens, nous avons fait une grosse salade de fruits et … miam, miam, que c’était bon !

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Les petites bêtes

Dans la classe, nous avons souvent des petites bêtes.

Par exemple, nous avons vu une belle araignée dans sa toile depuis la fenêtre. Puis Emrys a apporté un papillon, Benjamin des escargots et la maîtresse des chenilles.

Notre dialogue avec Kochka

Voici le dialogue que nous entretenons avec Kochka dans le cadre de notre participation au Feuilleton des Incorruptibles.

en noir : la discussion commune avec toutes les classes

en bleu : nos interrogations, nos questions, nos souhaits

en rouge : les réponses de Kochka

Jeudi 15 novembre 2012

Bonjour et bienvenu à ceux qui plongeront leur nez et leurs yeux dans cette histoire. « Aimy et Rose » n’est pas le titre définitif que je ne connais encore pas. Peut-être me le suggérerez-vous ? Pour l’instant je sais encore assez peu de choses de ce qui suivra, mais j’ai quand même quelques idées… Je ne décris pas mes personnages, mais Aimy doit avoir six ou sept ans et elle a sûrement les cheveux longs et un petit peu emmêlés. Il y a sûrement des biches dans leur bois et toutes sortes d’autres animaux. C’est donc plein de crissements discrets autour d’elles ; le silence n’est jamais complet.

Toutes vos remarques, suggestions, interrogations sont les bienvenues. Les histoires sont là pour faire rêver et grandir. Bonne lecture à tous !

Vendredi 23 novembre 2012

Bonjour Kochka

Nous n’avons pu accéder à votre texte que lundi après-midi. Aussi, nous sommes un peu en retard et nous en excusons.

Nous sommes les élèves de la classe de CE2 de l’école Georges Brassens à Ploeren dans le Morbihan. Nous sommes 30. Avec notre maître, Yves Simon, nous sommes très contents de pouvoir communiquer avec vous.

Bonjour au 30 que vous êtes et à votre maître, Yves Simon,

Vous n’êtes pas en retard… C’est vrai que sur le planning il était marqué que les réponses devaient être mises en ligne hier, mais ça ne me dérange pas si vous les mettez plus tard…

Nous avons lu le début et nous aimons bien. Certains ont eu du mal à comprendre le rapport entre Aimy et Lysargonde.

Je suis enchantée aussi de discuter avec vous, et je suis contente si vous avez aimé le début du roman.

Voici nos questions :

Rose et Aimy ont-elles le pouvoir des plantes, et d’où vient ce pouvoir ? Aimy va-t-elle apprendre à lire avant la fin du roman ?

Rose et Aimy ont-elles le pouvoir des plantes ? Votre question est très joliment posée… Disons qu’elles ont une connaissance poussée des plantes puisque Lysargonde a transmis son savoir à sa fille qui l’a transmis à sa fille, qui l’a transmis à sa fille etc… Et ce savoir est arrivé jusqu’à Rose qui à son tour le transmets au quotidien à Aimy… D’où vient ce pouvoir ? Je dirais donc plutôt ce savoir… En fait la grand-mère de Lysargonde avait des connaissances et une grande foi dans la nature, elle y a donc emmené sa petite-fille Lysargonde quand celle-ci est tombée gravement malade. Les soins donnés avec les plantes ayant fonctionné, Lysargonde adulte s’est à son tour penchée sur les plantes et, au savoir de sa grand-mère, elle a ajouté le fruit de ses recherches…

Je pense qu’il est important effectivement qu’Aimy apprenne à lire, mais je m’arrête là pour cette question, je ne veux pas dévoiler la suite….

Comment avez-vous choisi votre histoire ?

Comment ai-je choisi mon histoire ? J’ai eu envie de parler d’enfermement et de solitude, et je voulais en parler dans un conte. Et puis, par le plus grand des hasards j’ai relu une nouvelle que j’avais déjà lue autrefois d’un auteur qui est mort aujourd’hui et qui s’appelle Jules Supervielle. Cette nouvelle s’intitule « L’enfant de la haute mer » et raconte l’histoire d’une fille seule au milieu de l’océan. Alors je me suis dit pourquoi ne pas de mon côté mettre une mère et une fille seules au milieu des bois… Et petit à petit mon imagination s’est emparée de tout ça et ça a donné le début que vous avez lu.

Combien de pages écrivez-vous par jour ?

Pour ce qui est du nombre de pages que j’écris chaque jour. J’essaye de faire au moins une page, c’est à dire environ 1.200 caractères. Un caractère c’est une lettre, ou un espace entre deux mots, ou un signe de ponctuation. Comme ça en 8 ou 9 jours j’ai écris mes 10.000 signes, puis, les jours suivants, je me relis et je peaufine, c’est à dire que j’essaye de rendre mon texte plus beau… Cela dit, j’ai un petit bébé, et il y a des jours où je n’arrive pas à faire grand chose, alors je mets les bouchées doubles le lendemain, j’essaie de faire deux fois plus…*

Comment avez-vous fait pour devenir écrivain et faites-vous un autre métier ?

Pour devenir écrivain, j’ai pris mon courage à deux mains un jour et j’ai tenté d’écrire un roman : la fille aux cheveux courts. J’ai eu la chance qu’il intéresse un éditeur, Thierry Magnier, et j’ai eu la chance d’être invitée grâce à ce roman dans des classes… Et j’ai tellement aimé ça que j’essaye de continuer. Ca fait 12 ans maintenant. Avant j’étais avocate, mais je n’exerce plus ce métier.

Voilà pour cette fois.

Au revoir, à bientôt

La classe

Voilà j’espère avoir répondu à vos interrogations… Pourvu que la suite vous plaise… Et bon week-end à tous !

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Samedi 24 novembre 2012

Bonsoir à tous,

Cette question : Pourquoi Rose et Aimy sont-elles encore dans les bois alors qu’on ne brûle plus les sorcières ? m’a été posée par plusieurs classes. Je partage donc avec tous la réponse que j’ai donnée.

"Je vais vous faire une réponse un peu compliquée en espérant que vous me suivrez.

Souvent dans la vie on est enfermé dans des schémas dont on a du mal à sortir et les choses se répètent. Par exemple, un enfant qui a été mordu par un chien quand il était petit risque d’avoir peur des chiens pendant longtemps parce qu’il a eu une mauvaise expérience, et il risque pendant des années et des années de faire des détours pour éviter de passer devant des maisons où il y a des chiens. Il risque ainsi, par ces détours, de perdre beaucoup de temps et il perdra peut-être la chance de vivre une relation merveilleuse avec un chien parce que, pour lui dans sa tête, les chiens sont des bêtes méchantes.

Jusqu’au jour, peut-être, où quelque chose se passera qui changera sa façon de voir… Par exemple il verra un chien sauver un enfant… Ou un chien faire des milliers de km pour retrouver ses maîtres… Alors les choses seront mises à zéro. La première expérience sera effacée par la seconde. Par rapport à sa façon de voir les chiens, une sorte de deuxième vie commencera.

Eh bien mon texte ici est un conte, et dans les contes on utilise des images. Ici au lieu que les choses changent pendant le cours d’une vie, elles vont mettre plusieurs vies avant de changer. Lysargonde, parce que ses contemporains n’avaient pas l’esprit ouvert a été enfermée, cette malédiction va se poursuivre sur plusieurs générations avant que quelque chose ne remette les comptes à zéro…

Je pense à un autre exemple pour vous expliquer mon choix : en Chine encore aujourd’hui peu de filles vont à l’école, or c’est l’école qui forme l’esprit, qui permet un jour d’avoir un métier, et qui ouvre sur le monde. Pourtant, les mères de ces filles, et les mères des mères de ces filles, ont souffert de la différence de traitement qui a lieu entre les filles et les garçons, et, malgré leur propre souffrance, leurs filles subissent encore aujourd’hui cette malédiction. Il faut parfois un temps fou avant que les choses ne changent…"

Jeudi 29 novembre 2012

Bonsoir !

Vous verrez en feuilletant le livre que je me suis amusée à mettre de ci de là des images. Bien sûr, ça ne correspond pas toujours tout à fait au texte parce que ce sont des images pêchées à droite à gauche sur internet, mais je trouve ça plus gais. J’espère que ça vous plaira…

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Vendredi 7 décembre 2012

Bonsoir Kochka,

merci pour ta longue réponse.

Nous avons lu ton histoire, discuté et essayé de trouver la suite chapitre après chapitre. Nous avons fait un sondage : presque tous nous aimons beaucoup l’histoire d’Aimy. Nous avons hâte de découvrir la suite.

Bonsoir à tous,

Je suis contente de vous retrouver et soulagée qu’une majorité de la classe aime encore mon histoire.

Nous nous posons des questions. Pourquoi Aimy veut-elle aller à l’école alors qu’elle a une vie tranquille ?

Pourquoi Aimy a-t-elle envie d’aller à l’école alors que sa vie est tranquille ? Est-ce que la tranquillité suffit ? De savoir que les autres ne vivent pas la même vie qu’elle, ça l’a rendu curieuse. Et puis même si sa vie est tranquille, elle est quand même très solitaire. Je pense qu’à sa place, j’aimerais aussi aller voir comment vivent les autres. Et cette école où on apprend des choses assis derrière des pupitres et avec une cour de récréation pour jouer, je crois que ça m’attirerait aussi.

Pourquoi le début du chapitre 8 ressemble-t-il autant au début de l’histoire ?

Pourquoi le chapitre 8 reprend le chapitre 1 ? Parce que j’ai souhaité faire le point. Parce qu’avant d’aller plus avant dans l’histoire, j’ai souhaité vous en rappeller le point de départ car entre temps nous étions retournés en arrière. Mais je ne le ferai plus. Je considère maintenant que vous me suivez tous, que vous avez bien en tête la situation et les personnages.

N’écris-tu que des romans ?

Je n’écris pas que des romans, j’écris aussi des albums (c’est plus court et c’est illustré), par exemple pour votre niveau chez Nathan, il y a « Le marchand de glace à la vanille ». Sinon j’ai aussi écrit un documentaire sur la vie de trois enfants au Liban, « Joumana, Omar et Alia vous invitent au Liban » car je suis d’origine libanaise. Et puis chez Flammarion j’ai écrit un album de petites poésies. Le titre de cet ouvrage c’est : « Poésie dans l’air et dans l’eau » et toutes les rimes des petits poèmes sont en son « R » et en son « O ».

Est-ce que tu aimes tes livres ? Est-ce fatigant d’écrire un livre ? Est-ce long ?

Si c’est fatigant d’écrire un livre ? Oui, c’est un peu comme une course de fond. Il faut tenir sur la durée. Ne pas se décourager. Ne pas parler pour ne rien dire. Il faut aussi avoir des idées. Il faut laisser l’histoire doucement se fabriquer. Ne pas vouloir être pressé. Réécrire ses phrases jusqu’à ce qu’on soit convaincu. Sans cesse recommencer. Parfois j’écris une page pendant une journée et quand je me relis le lendemain, j’efface plus de la moitié. Parfois même j’efface tout… Cela dit, même si c’est fatigant c’est un travail qui me convient et qui me rend heureuse.

Et puis nous aimerions :

  • que Rose inscrive Aimy à l’école.
  • que Aimy soit contente d’y aller.
  • que Aimy ait des amis.
  • qu’il y ait plus d’aventures.

Au revoir, nous te souhaitons un bon week-end.

La classe

Quant à vos souhaits , j’en prends note dans ma tête, mais il va falloir encore un petit peu de patience, car si Aimy a envie d’aller à l’école, je ne suis pas sûre que Rose soit prête à déjà la laisser y aller. On ne change pas la tradition en un instant. Rose n’est pas allée à l’école, ni sa maman, ni sa grand-mère… Il va falloir que quelque chose de fort se passe qui l’oblige à vouloir la changer… Mais je ne peux pas encore en dire plus…

Je vous souhaite aussi un bon week-end, et je ne vois aucun inconvénient à ce que nos échanges figurent sur le site de l’école.

A bientôt à tous !

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Jeudi 20 décembre 2012

Bonjour à tous,

Je viens consigner ici les différents titres que vous m’avez proposés jusqu’ici… N’hésitez pas à continuer de proposer, je ne suis pas encore décidée…

Voilà vos suggestions toutes classes confondues :

« Une vie pas comme les autres »

« Les guérisseuses de la nature » ou « Les guérisseuses de la forêt interdite »

« les filles de la forêt » ou « les filles du bois »

« La vie dans la forêt »

« Le rêve d’Aimy »

« Les histoires cachées d’Aimy »

« L’aventure de Rose et Aimy »

« L’étrange vie de Rose et Aimy »

A suivre…

Vendredi 21 décembre 2012

Bonjour Kochka,

On a bien aimé la suite du livre et on est content que Aimy sache lire et écrire.

Bonjour CE2 de l’école G. Brassens !

Merci pour votre première phrase où vous dites que vous avez aimé la suite de l’histoire… C’est très important pour moi !

On se pose des questions.

  • Pourquoi as-tu parlé d’un alphabet avec 28 lettres ?

Les 28 lettres de l’laphabet c’est une erreur de ma part… Qui me montre que vous suivez bien l’histoire dans les détails… En fait ma confusion vient je crois du fait que quand j’étais petite j’ai appris en même temps à écrire l’arabe et le français. Je suis née en Orient au Liban, de l’autre côté de la mer Méditerrannée. Or si en français l’alphabet compte 26 lettres, il en compte 28 en arabe… Alors voilà, j’ai mélangé les alphabets…

  • Pourquoi Rose sait-elle lire alors qu’elle n’est pas allée à l’école ?

On peut apprendre à lire et à écrire à la maison, avec ses parents. Si vous vous souvenez bien, j’ai dit au début de l’histoire que Lysargonde avait reçu tout le savoir de sa grand-mère, puis qu’elle avait fait des recherches elle-même pendant toute sa vie. J’ai même dit qu’en matière de plantes elle en savait autant qu’une encyclopédie… Bref elle a transmis ce savoir à sa fille, qui comprend la lecture et l’écriture, puis sa fille l’a transmis à sa fille… etc jusqu’à Rose, qui à son tour transmet à Aimy…

  • Sais-tu combien il y aura de chapitres et pourquoi fais-tu des chapitres aussi courts ?

Je ne sais pas encore combien il y aura de chapitres parce que même si j’ai avancé un peu, je n’ai pas encore fini. Mais, si je fais des chapitres courts c’est parce que vous êtes de jeunes lecteurs, ça vous permet de faire des pauses… Moi j’aime bien les pauses… Trouvez-vous ça dérangeant ?

Nous aussi, on propose un titre :

  • L’aventure de Rose et Aimy
  • L’étrange vie de Rose et Aimy

Enfin, je vous remercie pour vos propositions de titres, je les range dans l’espace commun avec les titres des autres… Je ferai mon choix quand l’histoire sera finie mais ce n’est pas un concours, c’est juste une aide que je vous demande…

  • Aimes-tu tes livres quand ils sont finis ?

Bien sûr que je les aime, j’essaie d’y mettre tout mon coeur…D’ailleurs je ne propose aux éditeurs que les histoires dont je suis satisfaite, les autres s’endorment dans l’ordinateur… Parfois je les réveille, je les relis, et je les améliore… Et parfois je ne les réveille pas…

  • As-tu facilement des idées pour écrire tes histoires ?

Les idées, ça va ça vient… Ca dépend des jours. Certaines histoires viennent toute seules, comme si elles étaient prêtes dans un coin de moi, et d’autres résistent, me demandent beaucoup d’efforts et de patience…

  • Passes-tu beaucoup de temps par jour à travailler ?

Avant la naissance de mon petit dernier, j’essayais d’écrire au moins 6 heures par jour. Avec lui qui a un an, c’est plus difficile, j’écris dès que je peux. Parfois la nuit.

  • Comment et pourquoi as-tu choisi Kochka comme nom ?

Joyeux Noël et Bonne Année !

La classe et Yves Simon

Quant à Kochka c’est une longue histoire, je vous la raconterai dès que j’aurai un peu plus de temps, et si j’oublie rappelez-le moi.

Voilà, je vous souhaite de très belles fêtes de Noël ! Reposez-vous bien, et à bientôt ! Merci pour vos vœux !

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Vendredi 18 janvier 2013

Bonjour Kochka,

on aime vraiment, vraiment ton histoire. On a toujours hâte de découvrir la suite.

Tu nous demandais si les chapitres courts nous gênaient. On est une grande majorité à trouver que non !

Bonjour classe de CE2,

Je suis contente aussi chaque semaine de vous retrouver. Maintenant vous faites un peu partie de ma vie, tout comme cette histoire de Rose et d’Aimy.

Certains aimeraient que tu parles plus d’Aimy.

Que je parle plus d’Aimy… Vous voulez dire moins des livres qu’elle lit, et plus d’elle-même. En fait j’ai décidé de parler un peu longuement de l’enfant de la haute mer, parce qu’Aimy en lisant cette histoire va un peu se reconnaitre. Elle aussi voit peu de gens. Par chance elle a un nom et elle a une maman, elle n’est pas toute seule au monde. Mais elle aussi sait peu de choses sur les autres, n’a pas de maîtresse même si maintenant elle sait lire, et tous les jours elle fait des choses qui se répètent. Dans la vie, s’il n’y avait pas les autres, les jours se ressembleraient beaucoup. Ce qui change c’est ce qu’on se dit et ce qu’on se raconte, et ce sont les rencontres. Donc, elle lit la vie de l’enfant de l’océan et elle se voit un peu comme dans un miroir. Elle voit sa solitude à elle, en plus de la solitude de la fille de la haute mer. Et tout à coup elle est très triste. Elle tombe malade de solitude. Elle a un besoin urgent de changer de vie ! Ce passage était obligatoire pour que Rose accepte de changer quelque chose dans la tradition. Une maman ne supporte pas de voir sa vie en danger. Alors, Rose court avec sa fille dans ses bras, et s’ouvre le troisième chemin ! C’est le chemin du changement ! Est-ce que vous comprenez cette idée ? Je parle de l’enfant de la haute mer, mais à travers cette enfant, je parle aussi d’Aimy…

Quelques questions :

  • Pourquoi ton histoire est-elle si triste ?
  • Est-ce que Aimy va mourir en lisant ?
  • L’histoire finira-t-elle bien ?

Mon histoire est triste sur ce passage là, mais au début elle n’était pas triste : tant qu’Aimy croyait que tout le monde vivait comme elle et qu’elle ne se posait pas de questions, elle était très heureuse, et sa forêt est jolie !!! Par contre, c’est vrai que maintenant ça a pris une mauvaise tournure, mais ce n’est que momentané. Bien sûr que non elle ne va pas mourir en lisant ! Lire ouvre aux autres et à la vie ! Et oui l’histoire va bien finir…. Mais pour l’instant, je ne peux pas en dire plus…

Combien te reste-t-il de chapitres à écrire ?

Combien il me reste de chapitre ? Une petite dizaine et il y aura un épilogue. Demandez à M. Simon la définition de ce mot…

Ton travail est-il difficile ?

Mon travail n’est pas facile. Parfois je n’ai pas d’idées alors mes histoires s’arrêtent, je n’arrive plus à les continuer. Parfois les éditeurs les refusent alors que je les trouvent jolies et ça fait enrager… Cela dit, aucun travail n’est facile quand on veut bien le faire…. Donc non il n’est pas facile, mais je l’aime !

Que voulais-tu faire enfant ?

voilà, à bientôt

La classe

Enfant, je voulais être institutrice, mais après le bac j’ai raté le concours, alors j’ai fait des études de droit et suis devenue avocate. Puis, comme je n’avais pas pu enseigner aux enfants, un jour j’ai décidé de leur écrire des histoires.

Voilà ! Bonne fin de semaine à vous, et à bientôt.

Kochka

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Samedi 19 janvier 2013

Bonjour Kochka

merci de vos réponses chaleureuses et détaillées qui montrent aux enfants l’importance de ce dialogue pour vous. Ils se sentent écoutés et de véritables interlocuteurs.

En mettant en forme la « gazette » de nos questionnements sur votre roman, pour le site de l’école (http://www.ecole-publique-ploeren.ac-rennes.fr/spip.php?article343), j’ai retrouvé une question très importante que nous avons oubliée hier. Je vous la livre : « Pourquoi y a-t-il de la magie dans l’histoire ? Il s’allonge de plus en plus, le chemin. »

Auriez-vous une réponse à nous apporter ?

Bon week-end Cordialement Yves Simon

Dimanche 20 janvier 2013

Je suis allée voir votre gazette… Ça m’a fait plaisir toutes ces questions des enfants et en même temps, je me suis demandée si mon texte n’était pas trop compliqué… Peut-être aurais-je dû davantage mettre les points sur les i… Heureusement les enseignants sont là pour commenter, rappeler, étayer…

Donc revenons à la question de Pauline je crois. « Pourquoi y a-t-il de la magie dans l’histoire ? Il s’allonge de plus en plus, le chemin. »

En fait ce n’est pas que le chemin s’allonge de plus en plus, c’est un 3e chemin qui apparait. C’est peut-être ce que Pauline voulait dire : la forêt est de moins en moins impénétrable, d’autres chemins apparaissent.

Le premier chemin qui montait vers le nord et permettait de rejoindre le car au couleur vive, est le chemin de la tradition. Celui que Rose et Aimy empruntaient le premier lundi de chaque mois habituellement. Elle l’empruntaient non pas pour rendre visite à des gens, elles l’empruntaient pour faire des courses, par nécessité parce qu’elles n’avaient pas tout ce dont elles avaient besoin dans leur forêt.

Le deuxième chemin, qui descendait vers le sud, allait vers la guérite. C’est le chemin que Rose a décidé de prendre pour ne plus aller à la ville parce qu’Aimy se posait trop de question. C’est on peut dire le chemin du repli : Rose et Aimy se replient sur elle-même , elles s’enferment un peu davantage. Elles ne vont même plus à la ville un lundi par mois, elles déposent seulement un panier à la guérite.

Et le troisième chemin dont je n’ai pas donné la direction, peut-être qu’il va vers l’Est, permet de rejoindre un hôpital de campagne : c’est le chemin du changement ! Celui qui va permettre à Aimy et à Rose d’abord d’appeler les autres à l’aide parce qu’Aimy est malade… Et puis peut-être qu’elles vont se faire des amis…

Et maintenant pourquoi suis-je passée par de la magie ? Cette question est difficile…Comment vous expliquer : Cette forêt même si elle est jolie est un peu une prison pour Rose et Aimy, elles sont enfermées dans une longue tradition. Mais il n’y a pas que la forêt qui les enferme, il y a aussi, la tradition ancrée dans la tête de Rose. Rose ne veut pas la changer. Elle pourrait quitter la forêt, mais non elle croit qu’elle doit vivre comme sa maman, sa grand-mère etc… Mais tout à coup comme par magie, parce qu’Aimy est très malade, elle a le réflexe tout à coup de vouloir courir vers les autres ! C’est un peu magique quand, alors qu’on a cru pendant très longtemps à quelque chose, on remet tout en question. Parce qu’Aimy est malade, Rose met la tradition de côté, elle décide d’aller vers les autres, et même elle y va en courant ! Un chemin s’est ouvert par magie dans sa tête, « et si j’allais vers les autres… », alors, de la même façon, par magie, un chemin s’ouvre dans la forêt…

Je vous donne un autre exemple pour vous expliquer : Parfois on croit très fort à quelque chose, les autres nous disent qu’on se trompe, mais non nous on y croit très fort quand même et on ne veut pas les écouter. On est un peu borné… Puis tout à coup, comme par magie on a un doute, on envisage que peut-être on se trompe… On se remet en question… Alors la borne qui nous barrait la route de la pensée tombe tout à coup comme par magie…

Souvent dans la vie c’est dans sa tête qu’on est enfermé, et quand le barrage tombe dans la tête, le chemin qu’on croyait inexistant apparait.

Je vous donne un autre exemple : est-ce que vous me comprenez quand je parle de la barrière de la différence ou la barrière de l’apparence. Imaginez-vous devant un bossu, bizarre pas très beau, comme le bossu de notre dame… Dans un premier temps il peut vous faire peur… Parce qu’il n’est pas beau, vous pouvez croire qu’il est méchant… Il y a un fossé entre vous, ou une barrière. Vous avez envie de le fuir, dans votre tête vous dressez une barrière. Mais tout à coup, imaginez que vous ayez l’idée (magique) qu’il est peut-être très gentil… Je dis que l’idée est magique parce qu’elle peut comme d’un coup de baguette tout changer… Donc vous avez l’idée magique qu’il est peut-être gentil… Alors la peur dans la tête tombe un peu, et vous avez le courage de lui faire un sourire… Alors, il vous le rend, le sourire éclaire son visage et tout à coup, il a l’air aimable à vos yeux… Et ensuite tout est possible : le chemin vers lui s’est ouvert tout à coup par magie…

J’espère avoir été un peu claire…

Bon dimanche à vous, chez nous il y a de la neige…

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Jeudi 31 janvier 2013

Bonjour Kochka,

Nous sommes contents que Rose et Aimy aient rencontré d’autres personnes. C’est bientôt la fin de l’histoire, et nous nous demandons comment tu vas faire pour finir. Avant la fin, tu dois nous parler de : l’amitié de Aimy et Paul l’amitié de Rose et Stéphane l’école leur nouvelle vie : Vont-elles changer de vie ? de maison ?

Jeudi 31 janvier 2013

Bonjour !

Pour la fin vous verrez, oui il y a encore des choses que je dois dire, mais je dispose de 10.000 signes.

Nous avons constaté aussi que tu ne t’étais pas servi de certaines choses : le savoir des plantes, les personnages du renard et du pipit !

Le renard et le pipit ont aidé Aimy à se réveiller. Mais vous avez raison, j’aurais dû mettre une phrase en plus, je vais l’insérer dans le chapitre 32.

Bonsoir à tous !

Suite à une petite remarque de certains élèves, j’ai rajouté une petite phrase, chapitre 32 :

« Entrez ! » cria Paul qui, quelques minutes plus tôt avait sorti un renard et un pipit par la fenêtre. A croire que c’était sa spécialité, les sorties par les fenêtres… Sauf que là ça s’était passé sans problème : la chambre était au rez-de-chaussée. Et les deux animaux étaient repartis vers la forêt, qui à tire d’ailes, qui ventre à terre, et ils criaient : « Elle est sauvée ! Elle est sauvée ! »

C’est vrai qu’un petit quelque chose manquait… Je les remercie.

Kochka

Sinon, nous avons quelques questions : As-tu trouvé le bon titre ?

Le titre qui pour l’instant me plait le plus est : La forêt interdite… Qu’en pensez-vous ?

Comment trouves-tu le nom de tes personnages ?

Le nom de mes personnages, parfois je sais comment ils m’arrivent, parfois c’est un mystère : ils surgissent. Par exemple pour le docteur Stéphane, je ne me suis même pas posée la question de savoir comment j’allais le nommer. Quand je suis arrivée au passage de la plaque à l’entrée de l’hôpital, ce prénom a surgi tout seul, peut-être à cause de la rime, même si elle n’est pas parfaite : Docteur Stéphane, hôpital de campagne…

Pour le cuisinier, en écrivant, je l’ai imaginé oriental : les orientaux aiment faire à manger. C’est un moyen pour eux de dire aux gens qu’ils les aime. Du coup, je lui ai donné le premier prénom oriental qui m’est monté à la tête : Abdel.

Quand les personnages ressemblent dans mon esprit à des gens que je connais, il m’arrive de prendre leur prénom, ou leur deuxième prénom s’ils n’ont pas envie que j’utilise le premier…

Quant à Rose, je l’ai sans doute appelée Rose à cause de ses liens avec la nature. etc.

Est-ce que tu t’énerves parfois en écrivant ?

Oui ça m’arrive de m’énerver, quand je n’ai plus d’idées et que les histoires sont bloquées. Dans ces cas-là, il vaut mieux que j’aille me promener. Parfois les idées reviennent en marchant.

As-tu déjà des idées pour une autre histoire ?

Non, pour l’instant je n’ai pas vraiment d’idée, et d’ailleurs ça m’énerve un peu. Ce que j’aimerais c’est que ça se passe à la mer…

Pourquoi as-tu choisi le nom de Kochka et pourquoi ton vrai nom reste-t-il secret ?

Kochka est un pseudonyme qui signifie en russe : Le Chat. C’est tout une histoire que je vais résumer très vite. En fait c’est un papa qui m’a donné ce surnom à cause de ma voix que vous ne connaissez pas. Ce monsieur est russe et nous avons, parce que nos deux fils se ressemblent, été mis en contact. Je ne l’ai jamais vu, cet homme, mais nous avons longuement parlé au téléphone… Bref, il m’a donné ce surnom là à cause de ma voix, m’expliquant que j’avais une voix particulière qui lui faisait penser à celle d’un chat… Cet homme est un poète dans son pays… Les poètes sont sans doute des gens un peu bizarres… Et il se fait qu’à ce moment je cherchais justement un nom d’auteur pour publier mon premier roman ; c’était il y a 13 ans, et je me suis : tiens pourquoi pas celui-là !

Nous avons eu une idée pour que Rose et Aimy changent vraiment et qu’il y ait un signe fort de changement : Rose doit avoir un nouveau bébé et ce doit être … un garçon !

Au revoir, à bientôt

La classe

Je ne sais pas si en 10.000 signes j’aurai le temps de faire tomber Rose enceinte et de la faire accoucher. mais peut-être aurais-je celui de lui donner un amoureux…

Bonne fin de semaine !

Kochka

Mardi 5 février 2013

Bonsoir à tous

En terminant mon texte par un long épilogue, je me dis que quelque-chose ne va pas… L’épilogue est plus long que plusieurs chapitres réunis… Je pense donc que dans le texte définitif je regrouperai plusieurs chapitres… Enfin je crois…

Bonne fin de lecture à tous !

Kochka

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Samedi 16 février 2013

Bonjour Kochka,

C’est bientôt la fin et on se demande si tu es triste d’avoir fini l’histoire et d’avoir fini de parler avec nous. Nous, on est un peu triste.

Dimanche 17 février 2013

Bonjour Classe d’Yves Simon, et bonjour Monsieur,

J’avoue que je suis un peu triste aussi…. Quelque chose se termine… Mais pour moi c’était bien !!! J’ai beaucoup aimé vous emmener sur mon chemin… Et j’ai aimé vos questions, vos remarques, vos observations et réflexions…

A propos du titre La Forêt interdite, Certains pensent que tu parles peu finalement de la forêt et que de toutes façons, à la fin, on y entre. D’autres leur répondent qu’au début, on ne sait pas si on va y entrer. Du coup, un autre titre nous est venu : La Forêt aux trois chemins. Cela montrerait bien l’évolution de Aimy, comme tu nous l’a montrée.

Le titre que vous me proposez est pas mal !!! C’est vrai. Mais je me dis que peut-être on peut le raccourcir encore : Les trois chemins… Rose et Aimy ou les trois chemins… Je vais soumettre l’idée dans l’espace de discussion commun…

Dimanche 17 février 2013

Bonjour !

Des élèves me suggèrent un titre : la forêt aux trois chemins

Ou : Les trois chemins

Je trouve ça plutôt pas mal… Et vous ?

Bon dimanche ! Kochka

Puisque c’est la fin, on a fait une sorte de sondage. Ce jour-là, 28 enfants étaient présents. 24 ont beaucoup ou passionnément aimé l’histoire. 22 ont beaucoup ou passionnément aimé les personnages. 25 ont beaucoup ou passionnément aimé la fin.

Aimy et Paul recueillent chacun 12 voix pour le personnage préféré. (Rose, 3 voix et Antonia, 1 voix)

Votre sondage me va droit au cœur car il n’y a que des beaucoup et des passionnément…

Pour les personnages préférés, la vieille Antonia reçoit une voix… Ca me ravit ! Quelqu’un a donc été touchée par ma petite vieille et par sa gourmandise…

Ce qui nous a fait peur, c’est quand Aimy était malade, quand Lysargonde doit rester enfermée.

Ce qui nous a fait plaisir, c’est quand Aimy a guéri, quand elle a eu son pupitre, à la fin de l’histoire, en faisant connaissance avec Paul.

Ce qui nous a rendu triste, c’est quand Rose et Aimy ont quitté l’hôpital, pendant la lecture de l’Enfant de la haute mer (on a vu un joli film d’animation sur Youtube), à l’hôpital, quand la tasse s’est cassée, pendant l’histoire de Lysargonde.

Ce qui nous a rendu inquiet, c’est quand Aimy était malade, pendant l’histoire de Lysargonde.

Ce qui nous a rendu joyeux, c’est quand ils partent pour vivre ensemble, quand Aimy s’est réveillée, quand elle va à l’école, dans l’épilogue et au moment de la rencontre de chacun des personnages.

Oui il est beau le film d’animation sur you tube, c’est une très bonne idée d’être allés le voir !!!

Voilà, un grand merci encore pour toutes les réponses apportées et pour le soin apporté à répondre. Nous te souhaitons de vite trouver une autre histoire pour ne plus être énervée ! Nous avons eu beaucoup de plaisir à correspondre avec toi et nous attendions toujours avec impatience le texte, mais aussi tes réponses !

Au revoir.

La classe et Yves Simon

A moi maintenant de vous souhaiter des choses : beaucoup d’amour ! Beaucoup d’attentions aux autres ! Beaucoup d’histoires ! Et pleins de beaux chemins sur la terre !

Au revoir à tous, je vous embrasse !

Kochka

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Spectacle « Galou le berger » offert par l’amicale

Galou le berger

Nous sommes allés au Triskell. Nous nous installons et nous enlevons nos manteaux. Le spectacle commence. Le petit berger Galou rencontre un petit mouton perdu. A la fin de l’histoire, Galou raccompagne le mouton jusqu’à son troupeau. Le spectacle est fini et l’acteur parle avec les enfants.

Développer le goût en grande section

Animation développer le goût La diététicienne qui prépare les menus à la restauration scolaire, nous a montré des photos de fruits. Il y avait des photos de fruits frais et de fruits secs. Nous devions nommer les fruits. Nous avons eu chacun 3 fruits secs à goûter. Certains ont aimé, d’autres moins. Merci à la municipalité de nous avoir fait découvrir des nouvelles saveurs.

Avec Kochka, à la découverte du métier d’écrivain

Nous avons correspondu pendant trois mois avec un écrivain, Kochka, pendant l’écriture d’un de ses livres que nous lisions au fur et à mesure de sa production. Voici ce qu’elle nous a dit de son métier.

Bonjour Kochka,

Nous sommes les élèves de la classe de CE2 de l’école Georges Brassens à Ploeren dans le Morbihan. Nous sommes 30. Avec notre maître, Yves Simon, nous sommes très contents de pouvoir communiquer avec vous.

Bonjour au 30 que vous êtes et à votre maître, Yves Simon,

Comment avez-vous fait pour devenir écrivain et faites-vous un autre métier ?

Pour devenir écrivain, j’ai pris mon courage à deux mains un jour et j’ai tenté d’écrire un roman : la fille aux cheveux courts. J’ai eu la chance qu’il intéresse un éditeur, Thierry Magnier, et j’ai eu la chance d’être invitée grâce à ce roman dans des classes… Et j’ai tellement aimé ça que j’essaye de continuer. Ca fait 12 ans maintenant. Avant j’étais avocate, mais je n’exerce plus ce métier.

Comment avez-vous choisi votre histoire ?

Comment ai-je choisi mon histoire ? J’ai eu envie de parler d’enfermement et de solitude, et je voulais en parler dans un conte. Et puis, par le plus grand des hasards j’ai relu une nouvelle que j’avais déjà lue autrefois d’un auteur qui est mort aujourd’hui et qui s’appelle Jules Supervielle. Cette nouvelle s’intitule « L’enfant de la haute mer » et raconte l’histoire d’une fille seule au milieu de l’océan. Alors je me suis dit pourquoi ne pas de mon côté mettre une mère et une fille seules au milieu des bois… Et petit à petit mon imagination s’est emparée de tout ça et ça a donné le début que vous avez lu.

Combien de pages écrivez-vous par jour ?

Pour ce qui est du nombre de pages que j’écris chaque jour. J’essaye de faire au moins une page, c’est à dire environ 1.200 caractères. Un caractère c’est une lettre, ou un espace entre deux mots, ou un signe de ponctuation. Comme ça en 8 ou 9 jours j’ai écris mes 10.000 signes, puis, les jours suivants, je me relis et je peaufine, c’est à dire que j’essaye de rendre mon texte plus beau… Cela dit, j’ai un petit bébé, et il y a des jours où je n’arrive pas à faire grand chose, alors je mets les bouchées doubles le lendemain, j’essaie de faire deux fois plus…*

N’écris-tu que des romans ?

Je n’écris pas que des romans, j’écris aussi des albums (c’est plus court et c’est illustré), par exemple pour votre niveau chez Nathan, il y a « Le marchand de glace à la vanille ». Sinon j’ai aussi écrit un documentaire sur la vie de trois enfants au Liban, « Joumana, Omar et Alia vous invitent au Liban » car je suis d’origine libanaise. Et puis chez Flammarion j’ai écrit un album de petites poésies. Le titre de cet ouvrage c’est : « Poésie dans l’air et dans l’eau » et toutes les rimes des petits poèmes sont en son « R » et en son « O ».

Est-ce que tu aimes tes livres ? Est-ce fatigant d’écrire un livre ? Est-ce long ?

Si c’est fatigant d’écrire un livre ? Oui, c’est un peu comme une course de fond. Il faut tenir sur la durée. Ne pas se décourager. Ne pas parler pour ne rien dire. Il faut aussi avoir des idées. Il faut laisser l’histoire doucement se fabriquer. Ne pas vouloir être pressé. Réécrire ses phrases jusqu’à ce qu’on soit convaincu. Sans cesse recommencer. Parfois j’écris une page pendant une journée et quand je me relis le lendemain, j’efface plus de la moitié. Parfois même j’efface tout… Cela dit, même si c’est fatigant c’est un travail qui me convient et qui me rend heureuse.

Sais-tu combien il y aura de chapitres et pourquoi fais-tu des chapitres aussi courts ?

Je ne sais pas encore combien il y aura de chapitres parce que même si j’ai avancé un peu, je n’ai pas encore fini. Mais, si je fais des chapitres courts c’est parce que vous êtes de jeunes lecteurs, ça vous permet de faire des pauses… Moi j’aime bien les pauses… Trouvez-vous ça dérangeant ?

Aimes-tu tes livres quand ils sont finis ?

Bien sûr que je les aime, j’essaie d’y mettre tout mon coeur…D’ailleurs je ne propose aux éditeurs que les histoires dont je suis satisfaite, les autres s’endorment dans l’ordinateur… Parfois je les réveille, je les relis, et je les améliore… Et parfois je ne les réveille pas…

As-tu facilement des idées pour écrire tes histoires ?

Les idées, ça va ça vient… Ca dépend des jours. Certaines histoires viennent toute seules, comme si elles étaient prêtes dans un coin de moi, et d’autres résistent, me demandent beaucoup d’efforts et de patience…

Passes-tu beaucoup de temps par jour à travailler ?

Avant la naissance de mon petit dernier, j’essayais d’écrire au moins 6 heures par jour. Avec lui qui a un an, c’est plus difficile, j’écris dès que je peux. Parfois la nuit.

Ton travail est-il difficile ?

Mon travail n’est pas facile. Parfois je n’ai pas d’idées alors mes histoires s’arrêtent, je n’arrive plus à les continuer. Parfois les éditeurs les refusent alors que je les trouvent jolies et ça fait enrager… Cela dit, aucun travail n’est facile quand on veut bien le faire…. Donc non il n’est pas facile, mais je l’aime !

Que voulais-tu faire enfant ?

Enfant, je voulais être institutrice, mais après le bac j’ai raté le concours, alors j’ai fait des études de droit et suis devenue avocate. Puis, comme je n’avais pas pu enseigner aux enfants, un jour j’ai décidé de leur écrire des histoires.

Est-ce que tu t’énerves parfois en écrivant ?

Oui ça m’arrive de m’énerver, quand je n’ai plus d’idées et que les histoires sont bloquées. Dans ces cas-là, il vaut mieux que j’aille me promener. Parfois les idées reviennent en marchant.

As-tu déjà des idées pour une autre histoire ?

Non, pour l’instant je n’ai pas vraiment d’idée, et d’ailleurs ça m’énerve un peu. Ce que j’aimerais c’est que ça se passe à la mer…

Pourquoi as-tu choisi le nom de Kochka et pourquoi ton vrai nom reste-t-il secret ?

Kochka est un pseudonyme qui signifie en russe : Le Chat. C’est tout une histoire que je vais résumer très vite. En fait c’est un papa qui m’a donné ce surnom à cause de ma voix que vous ne connaissez pas. Ce monsieur est russe et nous avons, parce que nos deux fils se ressemblent, été mis en contact. Je ne l’ai jamais vu, cet homme, mais nous avons longuement parlé au téléphone… Bref, il m’a donné ce surnom là à cause de ma voix, m’expliquant que j’avais une voix particulière qui lui faisait penser à celle d’un chat… Cet homme est un poète dans son pays… Les poètes sont sans doute des gens un peu bizarres… Et il se fait qu’à ce moment je cherchais justement un nom d’auteur pour publier mon premier roman ; c’était il y a 13 ans, et je me suis : tiens pourquoi pas celui-là !

Voilà, un grand merci encore pour toutes les réponses apportées et pour le soin apporté à répondre. Nous te souhaitons de vite trouver une autre histoire pour ne plus être énervée ! Nous avons eu beaucoup de plaisir à correspondre avec toi et nous attendions toujours avec impatience le texte, mais aussi tes réponses !

Au revoir.

La classe et Yves Simon

A moi maintenant de vous souhaiter des choses : beaucoup d’amour ! Beaucoup d’attentions aux autres ! Beaucoup d’histoires ! Et pleins de beaux chemins sur la terre !

Au revoir à tous, je vous embrasse !

Kochka

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En motricité

En septembre et octobre, en motricité.

En septembre et octobre, en motricité, nous avons profité des beaux jours pour faire des parcours à l’extérieur avec le toboggan et les vélos.

A l’intérieur, nous avons aussi fait des parcours de motricité mais également de la danse et nous avons joué avec les ballons.

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Les apprentis décorateurs

Jeudi 6 juin : préparation du décor pour la fête de l’école.

Les enfants ont peint le tissu représentant le serpent. L’atelier peinture s’est déroulé dans la cour. Les 20 mètres de tissu nécessaires étaient fixés sur le grillage. Les enfants avaient à leur disposition un large choix de pots de peinture verte.

Noël dans la classe de MS-GS

Le père Noël est venu dans la classe.

Noël dans la classe de MS-GS

Mardi 18 décembre les parents de l’amicale ont demandé au père Noël de venir à l’école,

La semaine précédente nous avions décoré le sapin. Nous avons vu le père Noël arriver, il nous a demandé si nous étions sages. A ce moment là, nous étions tous très sages et nous avons tous bien écouté. Le père Noël a sorti les cadeaux qu’il avait apportés pour la classe. Nous avons fait un bisou au père Noël. Puis, le père Noël est parti pour aller dans d’autres classes. Pour lui dire merci, nous lui avons donné des dessins et chanté la chanson « petit papa Noël ». Ensuite, nous avons eu un bon goûter.

Un super après-midi ! Merci, père Noël !

L’automne

En automne, les enfants cueillent !

Découvrez notre récolte en feuilletant notre livre !

didapages@automne@

Expression corporelle

Les enfants de Moyenne Section dansent.

En novembre, tous les enfants de Moyenne Section, nous ont proposé un spectacle d’expression corporelle. Ils nous ont montré ce qu’ils avaient appris avec la maman d’Elouann et Aodrenn puis des danseuses ont fait des petites démonstrations.

La galette des rois en MS/GS

Atelier cuisine

Pour faire de la cuisine, il faut avoir les mains propres. Pour faire une galette, il faut des œufs, du sucre, de la pâte d’amandes, du beurre et 2 pâtes feuilletées. Nous avons mis les 3 galettes au four.

Nous avons mangé nos galettes, Alyssa et Hugo ont trouvé les fèves. Nous sommes tous des belles reines et des beaux rois.

La médiathèque

Notre première visite à la médiathèque.

Mardi 27 novembre, nous sommes allés à la médiathèque. Nous avons regardé des livres et nous en avons choisi dix pour les lire en classe.

Stop au harcèlement

Nous avons regardé des films sur le harcèlement à l’école, puis nous en avons discuté. Enfin, nous avons réalisé des affiches.

Clique sur une photo, puis lance le diaporama.

Initiation au judo

Nous avons fait trois séances de judo avec Morgan, du club de judo de Ploeren.

Noël des petits

Noël dans la classe de petite section

Pour Noël, nous avons eu un calendrier de l’Avent avec des petits sacs dans lesquels nous avons mis des bonbons. Tous les jours, nous mangeons nos petites friandises. Nous avons aussi décoré notre sapin de Noël avec des guirlandes et des boules. Enfin, le Père Noël est venu à l’école nous apporter des jouets pour la classe.

Sonennoù / Chansons

Carnet de chant de la maternelle bilingue.

1. 1 2 3
2. Dilun dimeurzh dimerc’her
3. Me’m eus un ti bihan
4. Setu ma dorn
5. Demat deoc’h-c’hwi ’ta Jañ-Mari
6. Ul lapin bihan
7. Yann Gorrig
8. Ar livioù

didapages@chant@

Ar viskoulenn vihan

Album créé par les PS/MS (maternelle bilingue / skol-vamm)

didapages@viskoulenn@

Initiation au karaté

Nous avons fait trois séances de karaté avec Yannick, du club de karaté de Ploeren.

Les roses des sables de Noël

Les petits gourmands ont cuisiné.

Pour Noël, nous avons fait des roses des sables avec du chocolat, du beurre, du sucre glace et des céréales. On a fait fondre le beurre, le chocolat et le sucre dans une casserole. On a ajouté les céréales, on a bien mélangé puis on a fait des petits tas sur une plaque. On a laissé refroidir et on a mis nos friandises dans des petits sachets.

Sortie des MS-GS à Branféré

classe MS/GS

Sortie des MS-GS offerte par l’amicale et la commune Nous sommes montés dans le car qui était devant l’école. Nous avons eu de la chance car nous avons eu un peu de soleil. Nous avons vu beaucoup d’animaux. Ici, les singes grimpaient partout.

Les lamas sont venus nous voir.

Nous nous sommes installés pour le spectacle des oiseaux.

Le moment tant attendu : le pique-nique !

La visite continue. Nous sommes allés dans le parcabout : impressionnant ! Nous avons caressé des chèvres. Il faut bien revenir !