Mathématiques :

• J’aide à mettre la table en mettant autant de couverts que de personnes.
• Je range des objets du plus petit au plus grand

Langage : Écrit : Je cherche la lettre de mon prénom (écrite par le parent) partout dans la maison Compréhension : J’écoute une histoire puis je réponds à des questions (qui est l’enfant/l’animal… dans l’histoire, que lui arrive-t-il ?) Vocabulaire : je cherche l’objet demandé par mes parents dans la maison.

Explorer le monde : Quand je me lave je nomme les différentes parties de mon corps, et quand je m’habille aussi ainsi que le nom de mes vêtements (le parent aide en ajoutant les mots que l’enfant ne connait pas)

Motricité fine : J’enfile des perles pour réaliser un collier ou un bracelet. J’enfile les lacets sur une chaussure. Je transvase de la semoule/riz/sable dans des verres, des bouteilles, avec des cuillères de différentes tailles, avec un entonnoir, à la main… Je réalise un parcours avec des Légos ou autres jouets de construction pour y faire rouler une bille ou une petite balle.

1) Jeu de Kim :

 

A partir des fiches jointes que vous pouvez imprimer ou reproduire, vous pourrez jouer avec votre enfant pour favoriser la mémorisation du nom des lettres, des chiffres et des formes de base.

 

Le principe du jeu de Kim est de retrouver l’objet ou l’image qui a été retiré.

 

* Commencez par jouer avec des objets de la maison. Par exemple :

un crayon de couleur

un feutre

un crayon gris

un stylo

une gomme

de la colle

des ciseaux

 

Cela permettra de travailler le vocabulaire des objets de la classe (beaucoup d’enfants confondent encore, feutre, crayon de couleur et crayon gris et certains disent un ciseau au lieu de dire des ciseaux).

 

Vous posez les objets sur la table (adapter le nombre d’objets à l’enfant) en les nommant et en faisant répéter l’enfant.

Puis, vous vous tournez, l’enfant retire un objet et le cache derrière son dos.

Vous devez repérer quel objet a disparu.

N’hésitez pas à vous tromper volontairement pour que l’enfant vous dise “non, ce n’est pas les ciseaux puisqu’ils sont là !” etc… Cela lui permet d’utiliser le vocabulaire.

L’enfant ne remet l’objet que lorsque vous avez trouvé la bonne réponse.

Quand l’enfant a bien le vocabulaire en tête, on échange les rôles et c’est lui qui doit retrouver l’objet disparu.

 

* Même chose avec les chiffres (de 1 à 5 ou 6 pour les MS) et de (1 à 10 mais peut-être pas tous en même temps pour les GS).

 

* Même chose avec des lettres : là il faut vraiment adapter selon les enfants.

-Pour les MS : celles du prénom puis si cela devient trop facile, prenez les prénoms des autres membres de la famille (attention un modèle du prénom doit être écrit en capitale d’imprimerie pour que l’enfant puisse s’y référer).

-* Pour les GS : celles du prénom mais beaucoup d’enfants en connaissent d’autres voire toutes celles de l’alphabet donc à vous de moduler.

 

*Même chose avec les 4 formes de base que les enfants doivent maîtriser. Si trop facile ajoutez d’autres formes.

 

Bon jeu !

les lettres en scripte

les lettres en capitale

les formes

les constellations

les chiffres

On a besoin du même matériel que pour le jeu kim mais en double exemplaire.

On installe 4 à 5 paires (voire plus) à l’envers sur la table.

Chacun son tour on en retourne 2, si ce sont les mêmes on les prend, sinon on les remet à l’envers en essayant de mémoriser leur place.

A la fin de la partie on compte pour savoir qui a gagné (activité de dénombrement).

 

Pour les chiffres, on peut dans une même paire avoir 2 fois l’écriture chiffrée

(3 et 3) mais pourquoi pas une fois l’écriture chiffrée et une fois l’écriture avec des points.

 

Pour les GS les plus à l’aise on peut aussi avoir dans une même paire des lettres en capitale d’imprimerie et les autres en script.

 

Voici un lien vers un jeu en ligne sur un memory des quantités.

Toutefois et au risque de répéter, attention au temps passé devant l’ordinateur !

 

Memory :

 

Bons jeux !

EPS à la maison

https://www.hugolescargot.com/activ...

Repérage dans l’espace : chercher le trésor.

Ce jeu permet de façon ludique et avec peu de matériel de réviser le vocabulaire du repérage spatial (comme le jeu du portrait déjà mis en ligne).

Les photos ne sont pas très évidentes à discerner donc voici une petite explication :

Prenez 5 pots de yaourts transparents identiques (mais cela peu aussi être des verres) et 8 couvercles (ex : bouchons de bouteilles de lait ou de bouteilles d’eau) tous identiques aussi.

Placez les 5 pots en ligne.

Les bouchons sont placés :

1 derrière un pot

1 dans un pot

1 sur un pot

1 sous un pot

1 entre 2 pots

1 devant un pot

Pour les GS, vous pouvez ajouter, un bouchon à gauche du 1^er pot et un autre à droite du dernier pot.

1^re phase : Vous tournez la tête pendant que votre enfant cache un petit trésor (à vous de choisir le trésor !) sous un des couvercles ou bouchons.

Puis vous lui posez des questions pour deviner où se trouve ce trésor : “Est-il sous le bouchon qui est devant un pot ?” .

L’enfant vous répond oui ou non et vous montre ce qui se trouve sous le bouchon.

On continue ainsi jusqu’à découvrir le trésor.

2^e phase  : on inverse les rôles.

Bon jeu !

Mikado maison

Voilà le message de Claude Ponti auteur de livre jeunesse

Pour écouter l’album Ma vallée de Claude Ponti

Pour faire son album

Voici la suite des jeux avec des cartes

1) ordre décroissant :

Reprendre le jeu “ordre croissant” dans la rubrique “avec un jeu de cartes” et commencer par le 10 pour descendre jusqu’à l’as. Cela permet à l’enfant d’apprendre à compter à rebours.

2) les cartes cachées : se joue à 2

objectif : désigner une quantité qu’on ne voit pas.

MS : un joueur prend les 5 ou 6 premières cartes d’une couleur (cœur, carreau, trèfle ou pique) et l’autre fait la même chose avec une autre couleur.

GS : La même chose mais on peut aller jusqu’à 10 cartes selon les capacités de l’enfant.

On étale ses cartes à l’envers sur la table et on les bouge pour les mélanger un peu. Un joueur prend 3 cartes parmi celles de son adversaire sans les montrer et les met en tas, à part et à l’envers (pour les GS on prend plus de cartes si on en a mis plus). L’autre joueur fait de même.

On reprend ensuite ses cartes. On en a maintenant moins qu’au début . On garde en tas à l’envers les cartes prises à l’adversaire

Comme les enfants ont beaucoup de difficultés à tenir des cartes dans les mains, ils peuvent les étaler à l’endroit devant eux. Peut-être dans l’ordre au début pour qu’ils puissent repérer plus facilement les cartes manquantes puis par la suite ils les placeront dans le désordre.

Ensuite, chacun leur tour, les joueurs demandent à l’adversaire une carte qui leur manque. L’adversaire regarde dans son tas de cartes retournées à l’envers et la donne au joueur. Si le joueur se trompe (c’est à dire qu’il demande alors qu’il l’a déjà dans son jeu), il n’obtient rien et c’est à l’autre joueur de demander.

LES RÉUSSITES  :

Attention par définition une réussite ne se réussit pas à chaque fois loin de là !!! Il faut donc bien faire comprendre et accepter à l’enfant qu’il ne va pas forcément gagner !

3) réussite 1 : faire 5 avec deux cartes :

objectif : faire des paires de cartes dont la valeur totale est 5

matériel : les 4 premières cartes des 4 couleurs donc 16 cartes.

Les 16 cartes sont bien mélangées puis mises en tas à l’envers. C’est la pioche.

L’enfant retourne les 3 premières cartes de la pioche puis les aligne à l’endroit sur 3 emplacements qu’on peut matérialiser pour aider l’enfant (mettre trois feuilles de papier les unes à côté des autres et cela restera les 3 emplacements jusqu’à la fin de la partie).

Puis, l’enfant retourne une carte de la pioche et vérifie si avec cette carte il peut faire 5 avec une des 3 cartes posées sur les emplacements :

• S’il ne peut pas, cette carte retourne sous la pioche, elle reviendra plus tard.
• S’il peut faire 5, il prend la carte concernée parmi les 3 et les met toutes les deux ensemble à l’écart, elles sont gagnées. Un emplacement ne peut jamais être vide, dès qu’une carte a été prise on doit la remplacer par la première carte de la pioche.

La réussite est terminée quand toutes les paires de 5 ont été trouvées.

deux cartes pour faire 5

deux cartes pour faire 5

4) réussite 2 : faire 10 avec deux cartes :

Pour les enfants les plus à l’aise, on peut faire la même réussite mais en cherchant les paires pour faire 10.

Le jeu est identique mais il faut les 9 premières cartes de chaque couleur (36 cartes) et il faut faire 6 emplacements au lieu de 3.

Bons jeux !

Voici une activité pour travailler la notion de taille :

Fabriquez ou utilisez le document ci -joint si vous pouvez l’ imprimer.

Attention les bandes doivent être absolument identiques (largeur et couleur). Elles ne diffèrent que par la longueur qui augmente de 2 cm à chaque nouvelle bande.

Pour gérer la difficulté, commencez par 4 ou 5 bandes (MS) pour augmenter progressivement jusqu’à utiliser les 10 bandes voire plus (GS) !

Demandez à votre enfant de les mettre en ligne :

* de la plus petite à la plus grande.

Vérifiez bien qu’il respecte le sens de l’écriture c’est à dire qu’il les place toujours de la gauche vers la droite. C’est quelque chose qu’on répète très souvent à l’école (en utilisant d’ailleurs les termes de la gauche vers la droite).

* de la plus grande à la plus petite.

* puis choisissez une bande intermédiaire, placez-le sur la table et l’enfant devra compléter ce qu’il manque avant et après, toujours par ordre de taille.

Faites remarquer à l’enfant que ça doit faire un escalier régulier.

bandes taille

http://www.ecole-publique-ploeren.a...

L’équipe d’inspection « mission maternelle » du Morbihan nous a fait parvenir un livret d’accompagnement pour l’instruction à la maison réalisé par le CNED. Il concerne les 3-4 ans mais il est aussi intéressant de le lire pour les grands. Pour les 5 ans, les familles ont la possibilité de se créer un compte sur « Ma classe à la maison » (du CNED) pour avoir un module sur 4 semaines (au moins…).

Bonne lecture

livret d accompagnement à l instruction à domicile

Pour écouter « Caca boudin »

Pour écouter « Non pas dodo »

Pour jouer :

Mémory

Mettre les chiffres dans l’ordre

Pour fabriquer son lapin qui change d’humeur.

Pour cuisiner

Ma valise de motricité fine

gâteau au yaourt

De nombreuses pistes d’activités dans ce document. Il faut cliquer sur les photos pour ouvrir le lien correspondant à l’activité.

Que faire pendant des vacances confinées

Un jeu de loto :

Loto du printemps

Pour jouer au rush hour

Pour faire des tangrams animaux

Pour faire des tangrams d’objets

Un fichier avec de nombreuses idées pour faire de la motricité à la maison.

Fichier MOTRICITÉ à la maison

Cette boîte vous sera utile pour mener l’activité de langage de jeudi prochain.

Pour faire la boîte

Les petits bonheurs de la journée : Se raconter les petits moments plaisir de la journée, quelque chose de gentil que l’on veut dire à quelqu’un… ce que l’on a aimé… et en garder une trace dans un « bocal à bonheur » en y déposant un message (un petit mot, une phrase dictée par son enfant, un dessin, …) On pourra ensuite relire régulièrement ces messages avec son enfant.

Si vous avez du fil de fer et du papier aluminium, vous pouvez essayer de créer des bonhommes avec les enfants. Ils pourront les façonner puis les faire bouger pour mettre en évidence le rôle des articulations. Cette activité vous permettra d’utiliser le vocabulaire de corps humain:la tête, le ventre….mais aussi le coude, le genou…. Pour les plus jeunes, vous pouvez fabriquer deux bonhommes (un pour vous, un pour votre enfant). Vous lui demandez de reproduire sur son bonhomme la même position que sur le votre.

bonhomme fil de fer

Pour prolonger l’activité vous pouvez proposer à votre enfant un coloriage inspiré du travail de l’artiste Keith Haring

Pop Art Keith Haring peinture abstraite

coloriage

Pour cette activité, il faut adapter les objets à visser et dévisser au niveau de votre enfant (par exemple des bouteilles de différentes tailles pour les PS, des boulons et des écrous pour les GS)

visser dévisser

Une image pour aider votre enfant à bien tenir son crayon.

tenue du crayon

Pour vous aider à mener l’activité

defi une sculpture en papier

Quelques exemples de réalisations :

décorer un lapin

Vous trouverez dans le PDF la recette des crêpes. La cuisine est une activité très riche avec les enfants.

Cela permet de travailler le vocabulaire : le noms des ingrédients et des ustensiles.

Ils vont aussi travailler la notion de quantité et de succession.

Il est important de suivre les étapes de la recette dans l’ordre.

Pour cela, il faut apprendre à lire la recette et se repérer dans une page : de haut en bas et de gauche à droite.

Bonne dégustation.

recette de la pâte à crêpes

Voilà des liens vers des jeux mathématiques en ligne. Ils permettent de travailler, avec une progression, la notion de quantité.

Attention, cependant au temps passé devant les écrans.

http://jeux.lulu.pagesperso-orange....

http://jeux.lulu.pagesperso-orange....

La pâte à modeler.

 

C’est une activité très appréciée des enfants des classes maternelles.

La pâte à modeler est un matériau qui permet de laisser libre cours à des manipulations créatrices : modeler des formes, des personnages, des objets, les mettre en scènes, inventer des histoires.

Pour les plus petits c’est la simple appropriation de la manipulation de la matière qui compte.

Aux plus grands on peut faire des propositions plus précises :former des colombins avec lesquels fabriquer des soleils, des fleurs et autres représentations diverses des formes géométriques, des lettres qui serviront à reconstituer le prénom et/ou d’autres mots, avec ou sans modèle (en écriture baton).

Vous pouvez partager cette activité avec votre enfant : malaxer de la pâte à modeler ça détend !

 

Alors si vous n’avez pas de pâte à modeler à la maison, vous pouvez la fabriquer, voici une recette qui vous donnera une matière très souple et agréable à manipuler.

Bien se laver les mains avant et après utilisation.

 

Recette :

1 mesure de farine (1 mesure = 1 verre de 250ml)

½ de mesure de Maïzena

¼ de mesure de sel fin

1 cuillère à soupe d’alun de potassium (en vente en pharmacie)

1 cuillère à soupe d’huile

1 mesure d’eau (dans laquelle on peut ajouter du colorant alimentaire)

 

Mélanger tous les ingrédients, et faire cuire à feu doux en tournant sans arrêt, jusqu’à constitution d’une boule compacte, lisse et souple.

Selon l’âge et les possibilités de votre enfant, sélectionnez les cartes :

* de 1 à 5 ou 6 pour les MS

* de 1 à 10 pour les GS

 

1) Le nom des figures sur les cartes :

Assurez-vous qu’il connait bien le nom des quatre types de cartes (cœur, trèfle, carreau et pique) ;

-* Pour cela, on peut mélanger toutes les cartes et leur demander de les trier en 4 paquets en nommant les cartes à chaque fois (le 2 de cœur, le 4 de carreau etc…).

 

2) Ordre croissant :

On mélange toutes les cartes et on en fait une pioche.

L’enfant retourne le 1^re carte de la pioche, si c’est un as, il le pose à l’endroit au milieu de la table. Sinon il la pose à l’endroit à côté de la pioche, c’est la défausse.

Il continue ainsi à tirer la 1^re carte de la pioche en essayant de “monter” chaque couleur : s’il a réussi à sortir l’as de pique il pourra poser le 2 de pique quand il le sortira et ainsi pour les 4 couleurs.

Quand la pioche est épuisée, il retourne la défausse à l’envers et recommence jusqu’à avoir poser toutes les cartes.

 

 

LES RÉUSSITES :

Attention par définition une réussite ne se réussit pas à chaque fois loin de là !!!

Il faut donc bien faire comprendre et accepter à l’enfant qu’il ne va pas forcément gagner !

 

3) Réussite 1 : la suite retournée :

 

objectif : remettre chaque carte à sa place dans l’ordre croissant.

 

On choisit une couleur parmi les 4.

On prend les 5 ou 6 (MS) ou 10 premières cartes (GS).

On les mélange et on les pose en ligne à l’envers sur la table (pour aider l’enfant, à l’école, l’emplacement des cartes est dessinée sur une grande bande de papier).

L’enfant retourne une carte au hasard, par exemple la 4^e en laissant son emplacement vide, si c’est le 2, il retourne la carte qui est en deuxième position, pose le 2 face visible, regarde la carte qu’il vient de prendre , la pose à sa place etc…

 

 

4) Réussite 2 : les douze paquets : 24 cartes

 

objectif : retirer toutes les cartes du plateau

 

MS : On choisit les cartes de 1 à 6 de chaque couleur.

GS : On choisit 6 cartes consécutives mais pas forcément de 1 à 6. Cela peut être de 3 à 8 ou de 5 à 10.

 

On mélange les 24 cartes.

On en pose 6 en ligne à l’envers puis 6 autres sur une deuxième ligne en dessous à l’envers aussi.

Puis les 12 cartes restantes sont posées à l’endroit (1 carte à l’endroit sur chaque carte à l’envers.

Le but du jeu est d’éliminer les paires de cartes de même valeur et de même couleur (cette fois dans le sens rouge ou noire).

Exemple : s’il y a un 3 de coeur et un 3 de carreau visibles, on les retire car ils sont rouges tous les deux. Idem s’il y a un as de pique et un as de trèfle.

Une fois qu’on a retiré une paire de cartes, on retourne les cartes à l’envers qui étaient cachées dessous et qui sont maintenant visibles.

On continue ainsi en croisant les doigts pour que la chance soit avec nous !!!

réussite 3

 

5)La bataille :

 

Pourquoi ne pas s’affronter avec maman ou papa au cours d’une partie de bataille !

Comme précédemment choisissez le nombre de cartes qui convient à votre enfant.

 

Bons jeux !

Pour enrichir le lexique du schéma corporel, nous vous proposons une petite activité que vous pouvez partager avec votre enfant.

On pointe l’index en l’air en imitant le bruit de la mouche bzzzzz …

 

1) L’enfant propose :

“Une petite mouche se pose sur ….. le nez.”

L’adulte doit poser son doigt sur son nez.

N’hésitez pas à commettre des erreurs pour que l’enfant puisse rectifier et argumenter.

On continue ainsi avec d’autres parties du corps.

 

2) On inverse les rôles. C’est l’adulte qui propose

C’est dans cette phase que vous allez pouvoir enrichir le lexique (ex : la cheville, le talon, le poignet, le mollet, la cuisse, la nuque, une phalange, les orteils, la tempe, la paume de la main etc …)

 

3) L’adulte propose :

“Une petite mouche se pose sur …..”, il ne dit rien d’autre mais montre une partie du corps et c’est à l’enfant de la nommer.

 

Bonne activité !